À la suite de l’obtention d’un plein financement en raison du parachèvement, les conseils scolaires catholiques devaient tenir compte de nouvelles perspectives et orientations. Cette situation a incité la communauté scolaire catholique à réfléchir plus en profondeur sur notre identité catholique commune et sur notre responsabilité croissante à l’égard du public en ce qui concerne les programmes d’études offerts dans nos écoles.
Les changements touchant la société, comme la mondialisation et l’impact de la technologie, commençaient également à redéfinir l’expérience d’apprentissage de nos élèves. Par ailleurs, la vision du Concile Vatican II (1962-1965) demandait toujours de l’Église qu’elle trouve de nouvelles façons de témoigner de la Bonne Nouvelle et de notre foi dans un monde de plus en plus fragmenté et sécularisé*[1].
[1]La sécularité c’est lorsque le religieux tend à être exclu de la sphère publique. La religion est ainsi devenue un phénomène en marge de la vie publique, un phénomène privé.